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L’annonce du Québec à s’isoler et à éviter les rassemblements sociaux afin de ralentir la propagation du covid-19 a déclenché en moi cette introspection sur le sentiment de solitude que plusieurs craignent. Que signifie pour vous la solitude ? Avez-vous peur de souffrir de la solitude ? Voici la réponse que je vous aurais donnée il y a quelques années. C’est seulement aujourd’hui que je réussis à la mettre en mots :

La solitude : je l’embrassais à tous les matins, passais la journée et me couchais à tous les soirs avec elle.  La solitude a fait partie de ma vie. Elle me suivait au travail, dans les soupers de famille, dans les fêtes entre amis et malheureusement elle finissait toujours par bien s’installer dans mes relations de couple.

Il m’arrivait parfois que je réussissais à me sentir moins seule lorsque j’étais aux côtés de certaines personnes, comme si ma batterie intérieure se rechargeait. Cette sensation ne durait pas longtemps. J’ai pourtant l’image d’une personne sociable. J’ai toujours travaillé au service à la clientèle. J’aime bien avoir des discussions enrichissantes et rigoler. Il venait toutefois un temps où je devais mettre un frein à ces interactions car au final, je finissais par me sentir complètement vidée. Plus rien ne semblait avoir de sens. C’était vraiment étrange !

Est venu un temps où un mécanisme de protection s’est formé en moi. Je suis devenue en quelque sorte une fille antisociale déguisée en une personne sociable pour ne pas déranger ou pour essayer d’avoir l’air moins bizarre. Plus ça allait, moins je m’intéressais à la vie des gens même si je réagissais avec eux, par politesse. Je pouvais être six mois sans donner signe de vie à mes amis. Vous comprendrez qu’il est ainsi assez difficile de conserver un réseau social bien garni. Mais peu importe que je sois avec des gens ou pas, en dedans de moi était toujours présente cette sensation de mélancolie et d’incompréhension. Pourquoi je me sentais différente des autres et que je n’étais pas capable de cultiver des passions et des rêves comme eux ?

Et puis un jour, ZIME est arrivé dans ma vie.

Cette solitude intérieure m’a alors quittée et mon but à présent c’est qu’elle ne revienne plus jamais.

Je vous invite à suivre les publications des étudiants et étudiantes ZIME dans la section « Articles » du site internet www.zime.ca. J’espère que vous puissiez ainsi comprendre que ZIME va au-delà de l’épanouissement et du bien-être personnel, mais qu’il s’agit bel et bien de la porte de sortie de la souffrance, peu importe le type de souffrance que vous vivez. Qu’elle soit physique, psychologique et même spirituelle !

Dans un prochain article, je vous partagerai mon histoire, ce qui m’a menée à ZIME et pourquoi je continue dans cette voie.

Pour ceux et celles qui êtes confinés dans vos demeures, je vous invite à vous inscrire à la Technique ZIME en ligne. C’est seulement par la compréhension du fonctionnement de votre corps, de votre environnement et surtout de votre Âme que vous pouvez atteindre la méditation profonde.  C’est la meilleure façon d’éliminer le stress, l’anxiété et l’angoisse. Elle vous aidera à passer au travers de cette crise tout en restant conscient(e) de cette nouvelle réalité sur cette planète. https://www.zime.ca/produits/adhesion-la-technique-zime-en-ligne/

J’espère que vous puissiez, vous aussi connaître cette sensation de plénitude en cette période de quarantaine. Prenez soin de vous, de votre Âme. C’est la meilleure chose à faire pour vous aider et pour aider les autres.

Julie, élève ZIME (région de Québec)